Un voyage captivant entre le passé et le présent.
Si vous arrivez sur cette page, ce n’est pas par hasard...
Certainement pas. C’est bien simple, je ne crois pas au hasard. Je ne suis pourtant pas de celles qui ont beaucoup de certitudes, mais sur ce point, j'en suis intimement convaincue : « Everything happens for a reason ! ». Pardon pour l’anglais, mais je ne trouve pas d’expression équivalente dans la langue de Molière. Littéralement, cela se traduirait par « Tout arrive pour une raison ».
Les raisons sont souvent compliquées à appréhender, il faut parfois même quelques années… mais à un moment donné, le sens s’éclaire et l’on comprend « pourquoi ». Pourquoi j’ai rencontré telle personne, pourquoi telle autre m’a fait du mal, pourquoi j’ai choisi cette route plutôt qu’une autre…
Alors vous ? Pourquoi êtes-vous ici ?
Parce que vous aimez lire ? Sûrement.
Parce que, comme moi, vous adorez jongler avec les mots ? Peut-être.
Parce que quelqu’un vous a chaudement recommandé à moi ? Merci à elle (à lui ?) !
Ou alors parce que – chers producteurs d'Hollywood – vous cherchez le scenario de votre prochain blockbuster ? Ohlala !
Quelles que soient vos raisons, peut-être même ne les connaissez-vous pas encore, sachez que vous êtes au bon endroit, exactement là où vous devez être… et que je suis ravie que vous lisiez ces quelques mots que je vous écris.
Mes créations
« Après quoi elles courent ? » - Roman auto-édité
Et si rien n'arrivait par hasard ?
Si les pires trahisons n'étaient parfois qu'un tremplin nécessaire vers le bonheur ?
Ce bonheur, Jane pensait l'avoir trouvé. Jamais elle n'aurait imaginé que son mari, le père de ses enfants, déciderait un jour d'anéantir le mariage qu'elle avait pourtant mis tant d'efforts à préserver. Confrontée à une réalité qu'elle refuse d'admettre, Jane sombre et ne veut écouter personne.
Ni Marie, sa meilleure amie, qui rêverait de la voir enfin échapper aux griffes de cet homme alcoolique et manipulateur.
Ni Marjorie, sa fille de 6 ans, qui, loin de comprendre tous les enjeux de la séparation, l'accable de tous les reproches.
Confrontées à la manipulation sournoise d'un homme et aux mensonges d'un autre, Jane, Marie et Marjorie vont tenter de se frayer un chemin à travers les ruines de leur vie. Plongez à la rencontre de trois voix intimement liées, qui racontent le doute, l'espoir et la soif d'enfin être soi.
Et vous ?
Oseriez-vous faire ce pas dans le vide vers vous-même ?
Découvrez mon interview pour l 'association « Écrivains des Hauts-de-France »
Trois mots pour décrire ce roman
Maternité
Ce roman suit Jane et Marie, deux mères, et Marjorie, une fille, à travers une période qui va bouleverser leur vie. Il témoigne de nombreuses facettes de cet amour filial entre une mère et ses enfants : de l’énergie qu’elle puise en eux, des ressources insoupçonnées qu’elle peut déployer pour les protéger, de l’abnégation dont elle sait faire preuve pour leur éviter de souffrir... mais aussi du supplice de ne pouvoir enfanter. À travers Jane, Marie et Marjorie, le mot « maman » se colore de mille reflets.
Sororité
Ce roman, c’est l’histoire de Jane, de Marie… mais aussi d’Alice et de Sylvie et de toutes les femmes, dont les destins s’entremêlent au fil des pages. Ce roman est une vraie ode à la sororité, un ressort puissant à la disposition des femmes pour grandir et s’affirmer. Entre rires et larmes, sans ambages, leurs dialogues sincères et parfois crus nous font pénétrer dans l’intimité d’un cercle d’amitié entre femmes fortes et fragiles à la fois. Un lieu où l'on se parle, on s'écoute, on se conseille, on rit, on pleure... et évidemment on court !
Emprise
Dès les premières pages du roman, le malaise est palpable. Le couple formé par Jane et son mari n’est pas sain, mais celle-ci est totalement aveugle à ce déséquilibre. Voilà l’illustration parfaite des ravages de l’emprise mentale. Jane va peu à peu ouvrir les yeux sur son mari, et comprendre qu’elle est totalement manipulée par ce qui s’avère être un pervers narcissique. La réalisation ne vaut malheureusement pas guérison, et ce roman témoigne de la difficulté pour les victimes de se défaire de leur bourreau. Jane partage son combat de l’intérieur, et Marjorie, sa fille, se débat avec ses propres questionnements.
« Après quoi elles courent ? » est un roman auto-édité.
J'ai choisi l'auto-édition non pas par dépit, mais par goût de liberté.
C'est loin d'être une solution de facilité, car tout repose entre mes mains : l'écriture, le design, la relecture, la promotion... il m'a fallu en surmonter des embuches pour arriver jusqu'à vous. Ce que vous lirez, c'est 100% moi, sans filtres pour "rentrer dans les cases" de l'édition classique.
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L'autrice
Née en 1979 à Paris, Jennifer Savina habite aujourd’hui à Lille et travaille dans le domaine de la communication. Cette franco-américaine, amoureuse des mots, des langues et des cultures, a poursuivi des études littéraires classiques en hypokhâgne dans un grand lycée parisien, avant de se tourner vers le commerce international en obtenant un Master de Commerce International et Négociations Interculturelles à l’Université de Paris X, Nanterre. Entre ses nombreuses lectures, ses séjours dans sa famille aux Etats-Unis et ses voyages à travers l’Europe, Jennifer peaufine alors sa maitrise des langues étrangères et sa vision de la richesse des relations interculturelles.
Dès les premières années de sa vie active, elle se lance dans l’entreprenariat et fonde avec un associé une agence de communication événementielle, qui florit encore à ce jour, malgré les hauts et les bas, les crises économiques et les remous de la vie. Au quotidien, elle jongle aujourd’hui entre sa vie professionnelle bien remplie et son rôle de mère d’une grande et belle famille recomposée.
Elle trouve néanmoins le temps de s’adonner à sa passion de l’écriture, et signe aujourd’hui son premier roman.
Interview de Jennifer Savina, en 3 questions
Qu’est-ce qui vous a donné envie d’écrire ?
J’ai suivi des études littéraires, puis de langues. J’adore les mots, j’adore lire des histoires, je suis fascinée et émue par la poésie, même quand je ne sais pas bien pourquoi. Depuis mon enfance, j’ai toujours tenu des petits carnets pour exprimer mes ressentis par des mots. En écrivant, je comprends mieux. Une sorte de thérapie par les mots j’imagine. J’ai cumulé pas mal de carnets avec le temps, mais rien qui ne constituait une histoire digne d’être racontée aux autres. Et puis la vie m’a envoyé de la substance pour écrire une histoire. J’ai mis quelques années à m’y mettre réellement, le temps de digérer et de prendre un peu de distance.
Votre roman « Après quoi elles courent ? », c’est votre histoire ?
Oui et non. L’histoire de Jane est bien inspirée de mon expérience personnelle, mais les personnages sont fictifs, et le tout est romancé. Marie est d’ailleurs un personnage totalement imaginaire, composé de plusieurs bribes de personnes que j’ai pu croiser au cours de ma vie. C’est d’ailleurs ce mélange que j’ai adoré retranscrire en écrivant. Des émotions vécues, mais aussi des scènes totalement inventées – personne mis à part moi ne sait où s’arrête la vérité et où commence mon imagination. C’est sûrement aussi pour me protéger que j’ai choisi cette forme littéraire romancée. Pour me dévoiler sans me mettre totalement à nu. Et puis pour égayer aussi certaines parties qui étaient vraiment trop moches. Mais le propos principal de ce roman, mon témoignage sur l’emprise, cette prison mentale érigée autour de moi par un mari pervers narcissique, tout cela est bien réel, et malheureusement pas du tout exagéré. Et c’est ce que je veux crier au haut et fort à travers mon roman. Que les femmes qui ont vécu ou vivent encore cette épreuve puissent comprendre qu’elles ne sont pas seules. Et que l’on peut s’en sortir, même si c’est long, même si dur.
Quel est votre rêve aujourd’hui, en tant qu’autrice ?
Rien que le fait de lire « Jennifer Savina signe aujourd’hui son premier roman » est un rêve qui se réalise. Je suis allée au bout de mon projet, et c’est une vraie fierté. Cependant, je me rends bien compte que ce n’est aujourd’hui qu’une étape. La seconde vient de se réaliser : tenir dans ma main un roman, imprimé sur des feuilles de papier, reliées entre elles, avec mon nom me désignant comme son autrice et ma photo en quatrième de couverture. Maintenant, je vais pouvoir aller à la rencontre de mes lecteurs et lectrices. Écouter leurs retours, partager nos ressentis. J'ai peur et j'ai hâte de laisser mon roman vivre sa propre vie, loin de moi. Un peu comme avec mes enfants, je les ai portés, je leur ai donné tout ce que je pouvais pour les faire grandir, et un jour je devrai les laisser voler de leurs propres ailes. Et j'ai hâte de voir ce que cela donnera !