

NOUVEAU ROMAN
« Ce qu 'elles m 'ont laissé »
ÉTÉ 2025
Un roman sur les silences qui traversent
les générations, et les liens qui les réparent.
Et si, pour avancer, il fallait d’abord se retourner ?
« Ce qu 'elles m 'ont laissé »
Roman auto-édité - Sortie été 2025
Un roman sur les silences qui traversent les générations, et les liens qui les réparent.
À 29 ans, Marjorie est au bord du gouffre. Sa carrière est en suspens, l'alcool devient un refuge, et le dialogue avec sa mère est rompu. Un incident violent la pousse à tout quitter pour la Californie, où l'attend une grand-mère qu'elle connaît à peine.
Ce séjour imposé devient une plongée dans les secrets familiaux. À travers des lettres, des confidences et des silences éloquents, Marjorie exhume les blessures de ses aïeules, les choix imposés par l'Histoire, les sacrifices tus. En découvrant ces récits, elle entrevoit les chaînes invisibles qui la retiennent et la possibilité de s'en libérer.
De la France aux États-Unis, des années de la Seconde Guerre mondiale à aujourd’hui, ce roman explore avec intensité la puissance des transmissions invisibles et la résilience des femmes face aux épreuves.
Et si, pour se reconstruire, il fallait d'abord affronter les ombres du passé ?
Mes bêta-lectrices ont déjà adoré !

« J’ai adoré ce voyage entre le passé et le présent, très bien amené. Les passages dans le passé sont captivant, et éclairent le présent d’une lumière très intéressante. Hâte de lire la version définitive ! »
« Trop contente de retrouver la plume de l’autrice et le personnage de Marjorie qui a bien grandi. Ce sujet des blessures transgfénérationnelles donne à réfléchir à ses propres automatismes. »
« Emotion, secrets de famille, suspens… de beaux ingrédients pour un deuxième roman page-turner ! »
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L'autrice

Née en 1979 à Paris, Jennifer Savina habite aujourd’hui à Lille et travaille dans le domaine de la communication. Cette franco-américaine, amoureuse des mots, des langues et des cultures, a poursuivi des études littéraires classiques en hypokhâgne dans un grand lycée parisien, avant de se tourner vers le commerce international en obtenant un Master de Commerce International et Négociations Interculturelles à l’Université de Paris X, Nanterre. Entre ses nombreuses lectures, ses séjours dans sa famille aux Etats-Unis et ses voyages à travers l’Europe, Jennifer peaufine alors sa maitrise des langues étrangères et sa vision de la richesse des relations interculturelles.
Dès les premières années de sa vie active, elle se lance dans l’entreprenariat et fonde avec un associé une agence de communication événementielle, qui florit encore à ce jour, malgré les hauts et les bas, les crises économiques et les remous de la vie. Au quotidien, elle jongle aujourd’hui entre sa vie professionnelle bien remplie et son rôle de mère d’une grande et belle famille recomposée.
Elle trouve néanmoins le temps de s’adonner à sa passion de l’écriture, et publie en 2024 son 1er roman « Après quoi elles courent ? ». Les retours enthousiastes des lecteurs et lectrices de ce roman confirment son intuition : elle est faite pour ça.
Interview de Jennifer Savina, en 3 questions
Vous publiez aujourd’hui votre deuxième roman. Est-ce une suite du premier ?
« Comment va Marjorie ? » Voilà une question très souvent prononcée par les lecteurs et lectrices de « Après quoi elles courent ? ». Il est vrai que l’épilogue de mon premier roman nous laisse en suspens, dans une forme d’attente. Une porte entrouverte. Pourtant lorsque je l’ai écrit, je n’avais pas de suite en tête. Je n’avais d’ailleurs aucune certitude (juste un doux espoir) que mon roman soit un jour publié.
Et puis, très vite après sa sortie, mes doigts ont recommencé à me démanger, mon esprit à tourner en boucle. Des personnages ont surgi, se sont mis à me parler, à me réveiller la nuit, me poussant à leur faire une place. Il fallait que j’écrive. De nouveau. Et je savais que Marjorie serait au cœur de ce nouveau roman. Ce livre est donc une suite – mais une suite sans en être une. L’histoire se déroule bien plus tard dans la vie de Marjorie, et peut tout à fait se lire de façon indépendante. Une nouvelle trajectoire, pour une même voix, adulte cette fois-ci, que je n’étais manifestement pas encore prête à faire taire.
L’écriture a-t-elle été très différente de la première fois ?
Complètement. Lorsque j’ai écrit "Après quoi elles courent ?", je partais de mon propre vécu. Je savais ce que je voulais raconter, je portais l’histoire en moi. Il me restait à trouver les mots justes, la forme la plus fidèle à mon ressenti. C’était un témoignage romancé, donc très intime, presque viscéral. Avec "Ce qu’elles m’ont laissé", le processus a été tout autre. Cette fois, j’ai imaginé une fiction pure, même si elle s’ancre dans un contexte historique bien réel. J’ai dû faire des recherches, recouper des faits, me plonger dans des archives. Ce travail d’enquête m’a passionnée. Même si le roman est moins autobiographique, il porte en lui des éclats de mon vécu. Comme souvent, l’imaginaire s’alimente de nos propres résonances.
Pourquoi ce choix du thème des blessures transgénérationnelles ?
C’est un sujet qui m’a marquée dans mon propre cheminement personnel. À travers divers outils de développement personnel et de résilience, j’ai découvert la notion de transmission invisible : ces blessures, ces non-dits, ces secrets qui se glissent d’une génération à l’autre sans qu’on en ait conscience. J’ai trouvé fascinant d’observer les motifs qui se répètent dans les histoires familiales, souvent sans en comprendre l’origine. Mieux se connaître, c’est aussi remonter le fil de ses racines. Le point de départ du roman, c’est une rencontre bien réelle avec un médecin un peu hors du commun — un moment à la fois étrange et déclencheur, presque kafkaïen. Si le reste de l’histoire est fiction, c’est ce souvenir bien réel que j’ai vécu, qui a planté la première graine.

« Après quoi elles courent ? »
Roman auto-édité - 1ère publication Mars 2024
Et si rien n'arrivait par hasard ?
Si les pires trahisons n'étaient parfois qu'un tremplin nécessaire vers le bonheur ?
Ce bonheur, Jane pensait l'avoir trouvé. Jamais elle n'aurait imaginé que son mari, le père de ses enfants, déciderait un jour d'anéantir le mariage qu'elle avait pourtant mis tant d'efforts à préserver. Confrontée à une réalité qu'elle refuse d'admettre, Jane sombre et ne veut écouter personne.
Ni Marie, sa meilleure amie, qui rêverait de la voir enfin échapper aux griffes de cet homme alcoolique et manipulateur.
Ni Marjorie, sa fille de 6 ans, qui, loin de comprendre tous les enjeux de la séparation, l'accable de tous les reproches.
Confrontées à la manipulation sournoise d'un homme et aux mensonges d'un autre, Jane, Marie et Marjorie vont tenter de se frayer un chemin à travers les ruines de leur vie. Plongez à la rencontre de trois voix intimement liées, qui racontent le doute, l'espoir et la soif d'enfin être soi.
Et vous ?
Oseriez-vous faire ce pas dans le vide vers vous-même ?

Ce sont mes lecteurs qui en parlent le mieux
De la vie, des émotions, des combats et de la joie.
Voilà un roman qui vous embarque et ne vous lâche pas. Son auteur raconte avec beaucoup de talent les récits, les confidences, les états d'âmes et la force de femmes, de filles, de mères et d'amies. L'histoire de l'emprise aussi. De la force qu'il faut pour en sortir. De la joie qui sait prendre sa place, même dans les moments les plus sombres.
A lire et à partager. Pour ne jamais laisser s'installer l'invisible violence.
Premier roman captivant, foncez le lire!
On est de suite emporté par cette histoire de vie racontée et vécue intensément par 3 points de vue différents et essentiel les un pour les autres. Une histoire de femmes, de résilience, de combat... "never give up" comme pourrait dire Jane!
Bravo pour ce premier roman, impossible de le lâcher, on en veut encore!
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Trois mots pour décrire le roman "Après quoi elles courent ?"
Maternité
Ce roman suit Jane et Marie, deux mères, et Marjorie, une fille, à travers une période qui va bouleverser leur vie. Il témoigne de nombreuses facettes de cet amour filial entre une mère et ses enfants : de l’énergie qu’elle puise en eux, des ressources insoupçonnées qu’elle peut déployer pour les protéger, de l’abnégation dont elle sait faire preuve pour leur éviter de souffrir... mais aussi du supplice de ne pouvoir enfanter. À travers Jane, Marie et Marjorie, le mot « maman » se colore de mille reflets.
Emprise
Dès les premières pages du roman, le malaise est palpable. Le couple formé par Jane et son mari n’est pas sain, mais celle-ci est totalement aveugle à ce déséquilibre. Voilà l’illustration parfaite des ravages de l’emprise mentale. Jane va peu à peu ouvrir les yeux sur son mari, et comprendre qu’elle est totalement manipulée par ce qui s’avère être un pervers narcissique. La réalisation ne vaut malheureusement pas guérison, et ce roman témoigne de la difficulté pour les victimes de se défaire de leur bourreau. Jane partage son combat de l’intérieur, et Marjorie, sa fille, se débat avec ses propres questionnements.
Sororité
Ce roman, c’est l’histoire de Jane, de Marie… mais aussi d’Alice et de Sylvie et de toutes les femmes, dont les destins s’entremêlent au fil des pages. Ce roman est une vraie ode à la sororité, un ressort puissant à la disposition des femmes pour grandir et s’affirmer. Entre rires et larmes, sans ambages, leurs dialogues sincères et parfois crus nous font pénétrer dans l’intimité d’un cercle d’amitié entre femmes fortes et fragiles à la fois. Un lieu où l'on se parle, on s'écoute, on se conseille, on rit, on pleure... et évidemment on court !
